Rejoignez-nous !
C'est le gaz qui n'a pas de frontières !
Et le pouvoir d'achat ?
Et le fioul ?
On l'a déjà entendu !
Prenons le risque dans ce cas !
Il ne s'agit pas d'infantiliser les Français : il s'agit de les informer.
Nos concitoyens ne savent par exemple pas qu'une assiette en carton ou des couverts en bois sont recouverts de PFAS.
Ils se renseignent grâce au marquage : merci d'aller dans notre sens !
Les PFAS sont des substances chimiques carbonées qui ont trois particularités : premièrement, elles se diffusent partout ; deuxièmement, elles sont souvent éternelles, puisque plus la chaîne de carbone est longue, plus les substances sont persistantes ; troisièmement, et c'est en cela qu'elles sont dangereuses et qu'il s'agit d'un problème de santé publique, elles se concentrent dans le corps humain. Récemment, dans ma circonscription, à Pierre-Bénite, des traces de pollution aux PFAS ont été identifiées : dans le sol, naturellement, dans la nappe phréatique, mais également dans le lait maternel des primipares – moins lors des naissances suivantes. ...
Alors, les hommes ou les femmes ? La Russie ou l'Ukraine ?
Débattons, alors ! Débattons !
C'est vrai ! C'est vous qui en parlez !
Et vous continuez à en parler !
Pacifique et non-violente !
Nous avons une préférence pour le travail !
Alors, c'est oui ou c'est non ? On vote l'article, ou non ?
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Vous le rejetez !
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Et le nombre d'amendements adoptés ?
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Oh si, vous savez très bien !
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Mais quelle arrogance !
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Bravo !
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Et comment remboursez-vous la dette ? Vous ne payez pas ?
Elle provient des budgets que vous avez votés il y a cinq ans.
Il y a deux ans, les comptes de la sécurité sociale étaient en voie de parvenir à l'équilibre.
Oui, vous avez raison !
C'est de l'argent que vous n'avez pas !
Irresponsables !
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Le projet de loi de financement de la sécurité sociale présente deux particularités s'agissant de la branche vieillesse. La première est l'absence de toute mesure la concernant, à l'exception de la fixation des objectifs de dépenses. Cela s'explique non seulement par notre choix, responsable, d'indexer les pensions de retraite sur l'inflation dans le cadre de la loi portant mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat, mais également par le fait qu'un ensemble de dispositions qui auraient pu irriguer cette partie font actuellement l'objet de discussions entre le Gouvernement et les partenaires sociaux. Nous ne pouvons d'ailleurs que nous féliciter ...
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Ainsi, le texte renforce les constats dressés par le Conseil d'orientation des retraites dans son rapport annuel 2022, comme dans l'avis du Comité de suivi des retraites publié une semaine plus tard, qui soulignait que, malgré l'ampleur des réformes passées, nous faisons face à des risques de déséquilibres résiduels significatifs à court et à moyen terme, risques qui pourraient être amplifiés par des conditions économiques dégradées, obligeant à reposer la question des voies d'équilibrage du système de retraite. Les mérites respectifs des modalités d'équilibrage du système de retraite doivent être analysés dans toute leur complexité, à la ...
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Rappelez l'Ondam !
Cyrille Isaac-Sibille, rapporteur de la commission des affaires sociales
Cyrille Isaac-Sibille Rappelez-nous combien de médecins ont été formés sous la gauche !
Un dicton populaire affirme : « Qui paie ses dettes s'enrichit. » D'où vient la dette de la sécurité sociale ? Vous en êtes comptables, messieurs Guedj et Dharréville.
La dette, c'est vous qui l'avez créée. Dans ces conditions, il est facile de faire étalage de rhétorique ! Tous, ici, nous voulons financer la cinquième branche dédiée au grand âge. Le problème est que nous ne pouvons pas le faire avec de l'argent papier.
L'article 3 devait permettre de commencer à rembourser les dettes de la sécurité sociale que vous avez créées. Quand nous aurons assaini les comptes de celle-ci, nous trouverons des financements pour la cinquième branche. De grâce, assumez votre politique, assumez d'avoir creusé le déficit de la sécurité sociale !
Je rejoins mon collègue Maillard. Dans le cadre des travaux du groupe de travail transpartisan, la majorité et les oppositions sont parvenues à trouver un compromis, une position médiane ; c'est une méthode de travail intelligente. Si plusieurs groupes remettent ainsi en cause le compromis qui a été trouvé, comment voulez-vous que nous travaillions avec les oppositions ?
Ce n'est pas une raison !
L'amendement de M. Bazin part d'une bonne intention, mais il est très limitatif ; c'est pourquoi nous ne le voterons pas. En effet, les chutes ne résultent pas uniquement de problèmes visuels, mais aussi de problèmes vestibulaires – d'équilibre –, locomoteurs, de proprioception et d'appréhension. Voilà pourquoi la prévention dans le domaine de la santé doit être envisagée dans sa globalité…
…et ne saurait se limiter à une consultation d'ophtalmologie qui ne changerait rien.
Je suis donc d'accord avec Mme la rapporteure générale : allons plus loin, dégageons plus de moyens de manière globale, tout au long de la vie.
On l'a fait, vous ne l'aviez pas fait !
Je suis d'accord !
Obstruction !
Et l'amendement transpartisan ?
Nous débattons d'un sujet de fond, central, à savoir la gouvernance. En matière d'autonomie, elle revient aux départements. J'entends vos arguments, mais la question est de savoir si on laisse les départements mener la politique en faveur de l'autonomie comme ils le souhaitent, ou s'il nous revient, en tant que représentation nationale, de nous ingérer dans la gestion de l'APA.